Si les collapso’ tendent peu à peu vers le low-tech, la toile joue un rôle important.
D’abord, avec tous ses dispositifs, internet regorge de données sur la question de l’effondrement et peut se trouver être un médium non négligeable à la sensibilisation.
Aujourd’hui, sur Youtube, il n’est pas rare de trouver des vidéos de vulgarisation sur la question:
→ Une interview de Pablo Servigne menée par Thinkerview à consulter ici
→ Le dernier épisode de La Barbe sur l’effondrement qui clos toute une série de vidéo sur le thème de l’écologie, en traitant des sujets de sociétés.
→ Web-Série de Clément Montfort Next . Cette web-série nous permet de suivre les théoriciens de l’effondrement, tout en nous sensibilisant, en partageant des témoignages qui nous permettent de mener une réflexion à ce sujet.
En voici quelques exemples mais avec quelques mots clés vous pourrez trouver de quoi satisfaire votre curiosité !
Aussi, si internet permet de diffuser du savoir, de sensibiliser, il permet aujourd’hui grâce aux réseaux sociaux, de créer du lien social, car comme nous l’avons vu, le collectif est une notion importante pour remédier aux angoisses d’un collapso’.
Dans l’image 1, nous voyons une présentation typique sur le groupe « Adopte un collapso ».
L’image 2, est une capture d’écran des événements organisés par certains d’entre eux pour se rencontrer en dehors de la toile.
En plus de pouvoir échanger des expériences, des ressentis, des doutes, des joies et des peines, les groupes Facebook ont le mérite de créer une sorte de communauté. En formant des communautés, on va pouvoir mettre en place des rencontres, des groupes de paroles des événements, des réunions pour d’une part penser des plans d’actions sur un territoire par le biais des MRES (Maisons Régionales de l’Environnement et des Solidarités) mais aussi, de simplement se rencontrer autour d’un sujet comme celui ci avec des personnes qui se sentent concernés par la question, parcequ’au final, les collapso’ ne conçoivent pas un monde sans apéro.
Et sans internet, aurions-nous pus se préparer correctement à l’effondrement ?
Nous le saurons, tôt…. ou tard !