IV – Pour scroller intelligement et briller en société
Pour approfondir un peu le domaine du microbranding et de l’active advertising, on te file quelques insight qui te permettront de briller parmis tes paires en confcall. Go go go.
( Si t’as rien compris, je pose ça là 😌 )
L’industrie 4.0
Le microbranding, c’est le béaba de l’Industrie 4.0. Le concept d’industrie 4.0 ou industrie du futur correspond à une nouvelle façon d’organiser les moyens de production. Cette nouvelle industrie s’affirme comme la convergence du monde virtuel, de la conception numérique, de la gestion (finance et marketing) avec les produits et objets du monde réel. Les grandes promesses de cette quatrième révolution industrielle sont de séduire les consommateurs avec des produits uniques et personnalisés, et malgré de faibles volumes de fabrication, de maintenir des gains. Dans un monde parfait, ce système industriel révolutionnaire est destiné à satisfaire davantage ses clients, en réduisant le temps de production des pièces fabriquées.
On parle de véritables enjeux sur le plan technologique : les marchés évoluent et l’exigence s’en trouve accrue. Il n’a jamais été aussi important de répondre à la demande dans des délais courts et aux prix négociés. Pendant ce temps, cette même demande trouve son envol dans les produits personnalisables, obligeant les industries à concevoir des procédés agiles et reconfigurables de manière presque instantanée. Si la numérisation dans l’industrie améliore l’efficacité de la production tout en ménageant les ressources, elle renforce aussi la compétitivité des entreprises sur le marché mondial. La production industrielle atteint une nouvelle dimension : celle du 4.0.
Le Sourcing
Le sourcing, c’est ce qui désigne littéralement la recherche de source. C’est un terme (barbant) utilisé dans les achats, les ressources humaines ou les services informatiques, pour sélectionner les fournisseur ou les candidats.
Dans le monde des microbrands, c’est au sourcing pharamineux des achats qu’on s’intéresse : c’est à dire la recherche, la localisation et l’évaluation des fournisseurs à travers une prospection minutieuse. Le but est de trouver des produits au meilleur rapport qualité prix, dans les meilleurs délais. Cela vise à réduire les coûts généraux des achats au travers de l’automatisation des processus concernés. Le sourcing peut aussi consister à laisser à une autre entreprise le soin de négocier les achats à l’étranger : il intervient donc en réponse à un besoin donné d’une entreprise.
(On vous l’avait dit, que c’était chiant. Tu veux étaler ta culture comme de la confiture ? Eh bah il faut souffrir pour avoir l’air intelligent. )
Lazarsfeld et sa « communciation a deux étages »
C’est ce bon vieux Lazarsfeld qui en 1955 a développé les prémices de l’influencer moderne dans « La communication à double étage ». Il créé alors le concept de « Leaders d’opinion ». Ces leaders seraient les personnes les plus exposés aux médias, et ils filtreraient, interpréteraient et transmettraient ainsi les informations des médias à leurs proches. Ils répercuteraient celles étant conformes à leurs idéaux, et discréditent celles qui sont au contraire déviante.
Ils s’agit donc d’une influence à « double étage »:
- Le message est délivré par le média et est reçu par le leader.
- Puis ce dernier fait partager son opinion à ses proches.
Selon Lazar, les leaders d’opinions n’avaient à l’époque pas forcément une position sociale élevé. Il s’agissait surtout de personnes accessibles, ayant une certaine crédibilité dans leur groupe. Celle ci dépendait de plusieurs facteurs, comme une position centrale dans le groupe ou la communauté, les contacts à l’extérieur du groupe. Le leader d’opinion c’est souvent celui qui est le plus exposé aux médias de masse, ce qui le fait apparaître comme le plus informé et le plus intelligent. Mais il ne faut pas leurer, finalement ce mec aux chevilles gonflées c’est surtout celui qui incarne le plus les normes du groupe, et donc le plus conformiste. Trop mainstream, comme disent les jeun’s.